They served on land
While many see only big artillery and tanks when thinking of those who fought on land, the roles of people in the army ranged and still range considerably. While there may no longer be the mounted rifles, forestry and railway construction divisions, there were and are field artillery, infantry, supply managers, , weapon and ammunition management, dentists, medical services, cooks, snipers, sappers, engineers, signalers, mechanics, logisticians, electrical and mechanical engineers, chaplain services, military police, legal personnel, musicians, intelligence, headquarters staff, and more. As well, within these areas of service, some required additional skills, from skiing to translation to lots of painstaking recordkeeping.
Also, although every November we remember the trenches of Europe, some of the people from or summering in the Metis area fought, were wounded or incarcerated as prisoners of war, died, or kept the peace around the world. Here are some of their stories.
- The official lineage of The Black Watch (Royal Highland Regiment) of Canada infantry regiment
- And the messenger boy wept… (John Cowans)
The Van Doos / Le Royal 22e Régiment
- Surviving the Great Escape (Lorna Bethell, about Tony Bethell)
- My Hong Kong Experiences during World War II (C. Douglas Johnston, Lieutenant, Royal Rifles of Canada)
End of World War 1: Metis summer resident, representing Canada following the Liberation, presents Mons (Belgium) Mayor with two of the Canadian field guns that fired the final shots of World War I.
Ils ont servi sur terre
Alors que beaucoup ne pensent qu’à l’artillerie lourde et aux chars d’assaut lorsqu’on parle de ceux qui ont combattu sur terre, le rôle des membres de l’armée était et reste encore très étendu. S’il n’y a peut-être plus de fusiliers montés, de Corps forestier et de Corps des troupes ferroviaires canadiennes, il y avait et il y a toujours l’artillerie de campagne, l’infanterie, le ravitaillement, la gestion des armes et des munitions, les dentistes, les services médicaux, les cuisiniers, les tireurs d’élite, les sapeurs, les ingénieurs, les signaleurs, les mécaniciens, les logisticiens, les ingénieurs électriques et mécaniques, les aumôniers, la police militaire, les services juridiques, les musiciens, les services du renseignement, le personnel des services centraux, etc. De plus, dans ces domaines de service, certains devaient avoir d’autres compétences, allant du ski à la traduction en passant par la tenue minutieuse des registres.
S’il est vrai que chaque année en novembre, nous commémorons les tranchées d’Europe, certaines personnes originaires de la région de Métis ou qui y passaient l’été ont combattu, ont été blessées ou incarcérées comme prisonniers de guerre, ont perdu la vie ou ont maintenu la paix partout dans le monde. Voici quelques-uns de leurs récits.
- Lignée officielle du régiment d’infanterie – Un bon nombre de résidents d’été étaient connectés par le régiment Black Watch (et l’Université McGill)
- Et le jeune messager pleura… (John Douglas Cowans)
Le Royal 22e Régiment / The Van Doos
- Survivre à la grande évasion (Lorna Bethell, à propos de Tony Bethell)
- Mes expériences à Hong Kong pendant la Seconde Guerre mondiale (C. Douglas Johnston, Lieutenant, Royal Rifles of Canada)
Fin de la Première Guerre mondiale : Un résident d’été de Métis, représentant le Canada après la Libération, remet au maire de Mons (Belgique) les pièces d’artillerie de campagne canadiennes qui ont tiré les derniers coups de canon de la Première Guerre mondiale.